24 /09/25
Il y a 4 colonnes dans le bâtiment économie pour parvenir à l’équilibre : la recette, les dépenses, l’épargne et la dette.
Si la recette est inférieure aux dépenses il faut augmenter les recettes ou baisser les dépenses.
La recette vient pour l’essentielle de la production et des services, des ressources propres, du produit de l’épargne et du patrimoine
La dépense additionne, les impôts et taxes, les frais de la production, de l’entretien du patrimoine et des intérêts de la dette.
L’épargne s’ajoute au patrimoine, les dettes s’en soustraient.
Il n’y a aucune autre règle que ce soit pour un quidam, une entreprise ou un état ou alors il ne s’agit plus d’économie mais…d’autres choses. Personne même venant de Saint Cyr ou de l’ENA ne peut l’ignorer, ce qu’en aurait conclu assurément Monsieur De La Palice.
Le toujours plus, qui détruit le produire mieux ou même le produire tout court, dépasse l’entendement mais reste l’axe de nos politiciens en désespoir d’idées mais en espoir de clientèle.
Il ne s’agit plus aujourd’hui de se servir de l’économie, comme du reste, pour le bien du peuple mais surtout pour survivre en politique.
L’action sans idée ou avec des idées dépassées ou sans réalité n’a aucun fondement profitable à tous. Jamais dans l’assistanat et le consumérisme, soutenu à l’excès, de notre époque, le Marxisme aurait pu naitre et pourtant il domine encore avec nos « experts » Piqueaqui* pour les principes et Tructoutman* pour les taxes confiscatoires, un retour en arrière constant nommé, contre toute évidence et avec cynisme : « progressisme »…
Que viennent faire les notions de droite ou de gauche dans les mathématiques primaires d’un budget en équilibre 1-1 = 0, un chiffre que beaucoup atteignent avec aisance sans même savoir compter ?
- *Toute ressemblance avec des médiocres ordinaires ne saurait être fortuite.
