Ca y est !

Ca y est…

Ça y est nous y sommes ! Plus possible d’ergoter, de se gonfler la poitrine d’un air hautain et méprisant en invectivant ceux qui ne veulent pas entendre. Les rodomontades en bois, de nos doctes « seigneurs » empêtrés dans une communication de diversion pitoyable hors des sujets pressants et réels, ne prennent plus.

L’enflure et l’emphase des propos de ceux qui nous gouvernent ne suffit plus à masquer les conséquences des politiques menées, les faits sont désormais au grand jour, la France a perdu la France, elle est en faillite morale et financière… ceux qui la regardent ne la retrouve plus tous ceux qui en parle en livrent, de plus en plus audible, ce constat malheureux.

L’incapacité transpire grassement de tous les portefeuilles, de la justice à l’éducation, de la sante au logement, de la ville à la campagne, de l’intérieur à l’extérieur. L’ambiance dans la rue, les entreprises à l’école et souvent dans les familles, est glauque infiniment morose voire délétère. L’état se délite et a déjà disparu dans nombre d’endroit, la violence s’installe, plus qu’une menace l’effacement est là, la vassalisation sociale et économique est à l’œuvre, plus possible de ne pas le voir.

L’invective, la diffamation, la diabolisation à l’encontre des observateurs critiques ou peu complaisants, les pressions pour étouffer ou disqualifier toutes solutions économiques ou sociales souverainistes ou identitaires, ne passant pas par l’Europe ou la Mondialisation, n’ont plus d’écoute. Toutes ces infamies véhémentes désormais discréditées, réunies depuis 40 ans pour continuer sans faiblir dans le déni et l’ineptie qui l’accompagne, laissent apparaitre leurs néfastes influences, les masques se lézardent, répétons-le : ça y est nous y sommes, les pères et les mères « déni » vont à la défaite et c’est tant mieux !

Voici venu les signes bénis du déclin des tenants autoproclamés de la bien-pensance, des idéologies, rouges, vertes, wokes, in situ ou ex situ, la déconstruction va changer de bord, et reviendra le temps de pouvoir traduire sans camisole cérébrale ce que nous transmettent les réalités, pour rendre à la France son avenir et ce qui lui appartient et qui la distingue : la liberté de penser et le génie qui l’a fait naitre.